Ce lundi 19 mars, grâce aux journalistes de France 3, nous avons tour à tour découvert les filières du métier de la communication audiovisuelle. Qui aurait cru que c’était si difficile, si hasardeux mais si satisfaisant de réussir sa prise, de voir son reportage ? Nous avons été étonnés, et plus encore, heureux de passer cette journée avec eux. Bien qu’il soit impossible de dire tout ce que l’on a appris durant ses quelques heures, nous voulons vous faire part de quelques informations que l’on a retenues :
Leur équipe est composée d’un ingénieur du son, qui doit capturer le son, un élément qui est primordial ; d’un monteur qui s’occupe du montage des reportages. Il faut savoir qu’une minute de reportage représente une heure de travail : il est long de sélectionner les scènes, combiner l’audio, travailler et négocier avec le(s) reporteur(s)… ; d’un rédacteur en chef, la personne qui s’occupe de la gestion de l’émission : choix des sujets les plus pertinents, organisation générale, regard régional sur les news, droit d’image, respect des sept minutes qui leur sont dédiées… ; le journaliste, lui, est la personne qui expose une situation et qui pour cela va se rendre sur place pour récolter des témoignages et des infos. Pour cela il, ou elle, doit être curieux, savoir négocier, être synthétique et savoir improviser ; d’un journaliste reporter d’image, qui est celui qui filme le(s) journaliste(s) dans leur investigation. Il est équipé d’un caméscope servant de caméra et de magnétoscope. Il doit être endurant (le caméscope pèse environ 10 kg), savoir maîtriser son appareil car il y a beaucoup de commandes, et réfléchir à ce qu’il va filmer ; ainsi que d’un assistant gérant les interviews, les rendez-vous, les appels…
C’est un sacré travail d’équipe !
Nous voulons tous vous remercier, car cette journée organisée à l’occasion de la semaine de la presse nous a été une opportunité de tester vos métiers, et de voir par vos yeux ce joli métier de voyageurs et de curieux, merci.
Lilas G., Charline T., Arthur B.